Samedi 2 Septembre 2023
La Magdalena > Pandorado - 20,3 km

18ème étape

 


    Je suis le désespéré, la parole sans écho,
    celui qui a tout perdu, et qui a tout eu.

    Soy el desesperado, la palabra sin ecos, 
    el que lo perdió todo, y el que todo lo tuvo.

    Pablo Neruda

 






El Río Luna


El Albergue de Peregrinos - Canales-La Magdalena


Les brebis en attente de leur petit-déjeuner...


Les vaches sont déjà dans les pâturages...



EXPLOITATION DE CARRIERE DE SABLES DE SILICE AGREGATS,
CRIBLAGE ET LAVAGE, TRAITEMENT DES ARGILEES





















Le temps est à l'orage...


Une belle jument...


El Rincón de Manolo - Riello


La Iglesia de Riello

                   
Repos...





Santuario de Nuestra Señora de Pandorado





Le Grand Hôtel Pandorado

    Dénivelé + 580 m

    Le topo de cette étape est court, en effet comme la météo annonçait de la pluie et de l'orage,
    j'ai préféré faire une bonne partie de l'étape en suivant la route.
    A noter juste ces dunes de sable dont vous pouvez voir les photos.
    En fait c'est une entreprise "Arénas de Bobia" qui fait l'exploitation de carrières de sables de silice.
    L'occasion de faire quelques belles photos...

    J'arrive vers midi à Riello où je fais une pause dans un bar et comme le temps se maintient, qu'il n'y a pas de menace de pluie,
    je termine en prenant un chemin au milieu des chênes et des genêts, histoire de retrouver l'environnement de la nature, ce qui
    est quand même plus agréable que le côtoiement des voitures roulant à vive allure...

    J'ai réservé une chambre dans un complexe hôtelier où je profite d'une bonne après-midi de repos ce dont j'ai grand besoin
    après les dernières étapes, superbes mais bien fatigantes...

 


Hébergement au Grand Hôtel Pandorado
Grands espaces, grande chambre avec SDB
C'est la fin de la saison touristique, aussi il n'y a pas de dîner sur place
C'est un peu cher, mais le petit-déjeuner est inclus.
3 coquilles


 

 



L'intérieur du Grand Hôtel Pandorado

 


    Au cours des étapes à suivre, je vous ferai découvrir une autre jeune poétesse :
        Isadora Waltz.

    Elle est née en 1987 en Lorraine.
    Elle a toujours été passionnée par la littérature
    et a commencé à écrire des poèmes à l'âge de trente ans.
    Elle vit et étudie à Paris où elle est une fidèle amie du Club des Poètes.
     

 


    Un jour je tairai le monde
    La rumeur des autres
    Le bruit de ce qui n'est pas nous
    Les romans imparfaits
    Les amours inachevées
    Puis je me tairai moi
    Et t'aimerai comme une statue
    Le cœur battant la pierre
    La larme arrêtée
    La main inoublieuse de ton corps
    Je te tairai enfin
    Comme on donne sa foi
    Son autre
    Sa caresse
    Son écueil
    Et quand nous serons tues
    Le monde pourra recommencer.


    Isadora Waltz
     

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