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Quand j'avais 20 ans,
je déclamais LE BATEAU IVRE dans les cafés et restaurants en Provence.
Par la suite j'ai toujours conservé ce poème dans ma mémoire et il m'arrivait régulièrement
de le dire dans des circonstances très différentes :
Lorsque je partais au travail le matin pour rejoindre la gare de Nice afin de prendre mon train pour Monaco.
Lorsque je marchais sur un sentier de bord de mer ou sur une digue balayée par la houle.
Lors de mon pot de départ à la retraite devant tous mes collègues et la direction au grand complet.
Et plus récemment lors de mes pèlerinages à Compostelle, c'est un poème que j'aime dire souvent,
et plus particulièrement lorsque je ressens une certaine fatigue, j'y puise un regain d'énergie...
Je vous propose ci-dessous 3 versions de ce magnifique poème :
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